lundi 19 novembre 2007

Lausanne - sous gare - 20.33

9 commentaires:

ccarval1 a dit…

Oh mon dieu! Il est trop beau! trop gnon, petit boud de chou! Oh.....je veux un aussi!!!! :-(

Anonyme a dit…

Mais Carine, on dit pas pas "trop gnon", mais "trognon" en un mot. Ou alors, si tu veux vraiment, on peut dire "trop trognon" (comme trop bien, trop cool, trop beau etc.)

Par ailleurs, on dit aussi un "petit bout" et non pas un "petit boud", ainsi que "j'en veux un aussi!!!!:-(" et non pas "je veux un aussi!!!!:-(".

Voilà, je sais je suis chiant... longue vie à Bernard Pivot!!!!

Anonyme a dit…

Il eût été préférable, très cher Bernard, que vous vous exprimassiez vous-même de manière correcte.
On veillera à ne pas oublier que la négation est composée de deux termes, mais pas deux fois le même: "on NE dit pas" au lieu de "on dit pas" voire comme ici "on dit pas pas".
(Ce "pas pas" est par ailleurs un lapsus intéressant lorsqu'il est question de vouloir un enfant!)

On se souviendra également que la proposition subordonnée complétive est introduite par la conjonction de subordination "que": "Je sais QUE je suis…" au lieu de "je sais je suis…"

Quant au recours à l'adjectif qualificatif "chiant", on eût pu attendre de vous, très cher Bernard, que vous fissiez usage d'un terme plus élégant.

Anonyme a dit…

Merci cher Fabio de me reprendre sur mes inmanquabkes lapsus. Que pensez-vous toutefois, et cela était au demeurant ma visée première, d'introduire non pas un "que", mais une virgle entre "je sais" et "je suis chiant" > "Je sais, je suis chiant" ?
Merci d'éclairer la lanterne d'un gars qui fait de toute façon écire ses dictées par d'autres et qui fait, par ailleurs, semblant de savoir écire "anticonstitutionnellement" alors qu'à vrai dire son doute est permanent quant à savoir s'il faut réellement deux "n" et deux "l" et non pas deux "m", voire deux "t", voire trois "a" etc.

Anonyme a dit…

Lire non pas:
1. inmanquabkes mais immanquables
2. virgle mais virgule
3. écire mais écrire

Anonyme a dit…

Introduire non pas un "que", mais une virgule?
Il s'agirait d'une juxtaposition – ou parataxe asyndétique – qui serait certes possible mais plutôt réservée au langage oral. Dans un commentaire écrit, on préfèrera l'hypotaxe, à savoir l'indication du lien de subordination.

Anonyme a dit…

Merci mon cher Jacques "Maître Capello" Capelovici (et moi qui croyais avoir affaire à cette quintessence des amours mafieuses, berlusconistes et milanistes personnifiée par ce cher Fabio... :-/...), je promets, dès à présent, sous peine d'intenses séances d'autoflagellation, de ne plus confondre hypotaxe subordonnée compulsive, métastax subordinative, parataxe indicative et subordination asyndétique.

ccarval1 a dit…

La compétitivité masculine m'étonnera toujours...oh, pardon:

"les conneries de ces Jules font chier, quoi"! C'est peut-être celui-ci le registre qui m'est réservé dans cette conversation...

Anonyme a dit…

A titre personnel, je préférerais le statut plante verte de décoration, mais bon, si tu veux vraiment t'exprimer...